Transformé en "vrai" calvaire au début du XIXe, agrémenté d'une chapelle et de stations du chemin de Croix, le lieu évolue ensuite vers un jardin d'agrément paysagé, avant de pratiquement tomber dans l'oubli au XXe siècle. La dernière réhabilitation d'envergure a abouti, en 2011, à la réouverture au public.
L’imposante muraille du bastion, du XVIe siècle, remaniée à l’aube du XIXe, demeure l’un des témoins du système défensif de la "ville basse" de Carcassonne. Dans le jardin du bastion, les 14 stations du chemin de croix, avec
des hauts-reliefs en terre cuite cachés dans des niches, proposent un parcours inédit, différent du programme canonique habituel. Enfin, l’iconographie (statues en fonte du calvaire) est également originale.
La dimension paysagère du lieu est également intéressante et fait sens. Elle est constituée d’espèces présentes dans la Bible. Les plantations restent cohérentes avec le projet d’ensemble, et confèrent son charme et son caractère méditerranéen au lieu. La dernière réhabilitation d’envergure a abouti, en 2011, à la réouverture au public.
des hauts-reliefs en terre cuite cachés dans des niches, proposent un parcours inédit, différent du programme canonique habituel. Enfin, l’iconographie (statues en fonte du calvaire) est également originale.
La dimension paysagère du lieu est également intéressante et fait sens. Elle est constituée d’espèces présentes dans la Bible. Les plantations restent cohérentes avec le projet d’ensemble, et confèrent son charme et son caractère méditerranéen au lieu. La dernière réhabilitation d’envergure a abouti, en 2011, à la réouverture au public.
Ouverture
À télécharger
https://cdt11.media.tourinsoft.eu/upload/Document-Histoire-du-Jardin-du-calvaire-2.pdf
